Nous étudierons l’hypothèse de la stimulation électrique transcrânienne comme thérapie alternative de ralentissement de la démyélinisation chez les patients atteints de sclérose en plaques.

Bien que le cerveau humain soit capable de réparer cette couche protectrice, cette capacité n’est pas suffisante chez les patients atteints de SEP. Par contre, nous savons que l’activité cérébrale affecte la formation de cette couche protectrice, et c’est ce que nous souhaitons tester de manière expérimentale. Tout d’abord, nous endommagerons ces fibres nerveuses chez des souris ; ensuite, nous comparerons des souris traitées par stimulation transcrânienne par courant alternatif avec des souris non traitées. Notre hypothèse est que l’application d’une stimulation électrique protège contre la SEP. 

Co-invetigateurs: Prof Guy Nagels, Prof Dimitri De Bundel et Prof Johan Stiens.